Sans famille, d’Hector Malot : le grotesque comme moteur de la satire
Adaptée par Léna Bréban et Alexandre Zambeaux sur la scène du Vieux-Colombier, Sans famille replonge dans ce voyage initiatique phare de la littérature de jeunesse. Sur un plateau tournant qui chante les changements de paysages, la dramaturge tourne la cruauté en dérision et célèbre les compagnons d’infortune et la solidarité.
Par Philippe Leclercq, professeur de lettres et critique